100 bornes vers Maaseik et je constate que tous ces cyclistes turbulents ne donnent aucun signe de fatigue. Jamais un mollet ne fléchira. Que dois-je faire pour qu'ils me lâchent les baskets? Bon, terminé! Je coupe l'énergie! Roule ta bosse supprime les ravitos-crêpes à partir d'aujourd'hui...